Du Quai Neuf à la route forestière 31 géothermique de Sainte-Rose

Difficulté
Difficile
Indice de confiance Faible
1-Excellent: Toujours correct : j'y vais sans réfléchir, même seul.

2-Bon: Petite vérification avant de partir. Mini-problème possible sans danger : j'y vais aussi sans réfléchir, même seul.

3-Moyen: Quelques fermetures récentes, climat incertain de la région. Boue, herbes hautes et mouillées, glissades possibles, etc. J'étudie, je me renseigne avant le départ, mais j'y vais.

4-Faible: Souvent fermé, des critiques fréquentes, une végétation non domestiquée. Dangers possibles. Coupe-coupe ou corde dans le sac. À réserver aux initiés. Enfants à la maison. Ne jamais partir seul.

5-Danger/Médiocre: Trop de problèmes partout : végétation invasive, fermeture officielle, difficulté importante, sentier marron difficilement réhabilitable, éboulis, zone infrachissable, guide nécessaire, privatisation d'un passage, etc. À réserver aux aventuriers ou habitués de la découverte très sportive. Il y a d'autres circuits à effectuer avant. Je n'y vais pas.
Durée 1h45
Distance 8.5 km
Type de trajet
Altitude haute-basse 191 - 20 m
Dénivelé positif 180 m
Dernière mise à jour 23/11/2024

Dans la jungle du Grand Brûlé

Itinéraire à oublier : Les commentaires de Christian et de Martial datés du 21 avril 2023 en disent long sur l'état de cette piste abandonnée depuis des années. Quand les braconniers ne mettent plus les pieds dans un endroit, il y a peu de chances d'y croiser un randonneur !

Dans les années 80, des sondages ont été effectués pour déceler dans le sous-sol du Grand Brûlé les sources chaudes qui auraient pu être exploitées pour faire tourner des turbines. Le projet n’ayant pas été poursuivi ou plutôt déplacé pour effectuer d’autres forages vers la Plaine des Sables, il ne subsiste désormais sur les lieux que les vestiges de la route employée alors. Cette route, qui a été depuis traversée par la coulée de 2001, est de bonne qualité sur les 500 premiers mètres. La végétation a bien envahi les lieux sur la portion suivante mais le passage est encore aisé et même agréable car il y a beaucoup d’oiseaux dans cette région semi-désertique. En revanche, la dernière partie est désormais à mettre aux oubliettes. Les traces qui subsistent sont celles des chasseurs de tangues ou des randonneurs fous qui préfèrent les griffures aux coups de soleil. Le cheminement s’effectue dans une forêt de grandes fougères et le plaisir de randonner disparaît très vite.
Ce n’est pas le cas de la portion qui rejoint la RN2 à la Pointe du Grand Brûlé ou Quai Neuf sur une piste en assez bon état où passent encore quelques véhicules de pêcheurs. On rejoint rapidement l’océan mais il n’est pas très aisé de se rapprocher du grand platier qui le borde et où traînent des centaines de vestiges de bas de lignes cassées et autres "souvenirs" de pêche.

La randonnée débute au parking du Quai Neuf, facile à repérer après la coulée de 2004 en venant de Saint-Philippe. Après avoir partagé son casse croûte avec les chiens errants qui traînent là une grande partie de l'année, traverser la route et emprunter la piste qui descend vers la mer (Photo 1). Le cheminement sur l'herbe est agréable au milieu d'une végétation fournie. On rencontre une plantation de takamakas bord de mer ainsi que quelques autres essences (Photo 2). La descente est faible et la marche facile malgré les hautes herbes qui ont tendance à envahir la piste et ses abords (Photo 3). Les 200 derniers mètres sont agréables dans un belle verdure (Photo 4). Puis les filaos couvrent toute la surface jusqu'à la côte créant une balade ombragée (Photo 5). La côte, au nord, est rocheuse et difficile d'accès (Photo 7). Au sud, c'est l'inverse et l'on peut marcher sans danger sur près d'un kilomètre sur les plaques créées par les éruptions (Photo 8). S'il fait beau, on peut rester dans le coin autant qu'on veut avant de faire demi-tour par la même piste ombragée.
A la RN2, prendre à gauche et marcher en direction du Tremblet sur un kilomètre en traversant les coulées de 2004. On rencontre souvent des équipes casquées et harnachées qui se dirigent vers les nombreux tunnels de lave. Une occasion, au retour, pour se renseigner et prendre rendez-vous pour effectuer au moins une fois cette balade souterraine. Repérer à droite le début de la Route Forestière Géothermique fermée par une barrière. Entamer la montée, tout d'abord très facile car la piste est bien marquée et la végétation n'a pas encore commencé sa colonisation (Photo 9). Par moments, elle est totalement plate pour un cheminement facile (Photo 10). Sur le côté, on remarque la lente installation des bois de chapelet qui profitent de toute anfractuosité pour implanter leurs racines (Photo 11). Viendront ensuite les lichens et les fougères avant la mise en place naturelle des filaos. S'il est facile de marcher sur certaines coulées, d'autres, en revanche, sont beaucoup plus instables et dangereuses (Photo 12). On peut dénicher assez facilement, sans tenter des explorations risquées, de belles coulées plissées (Photo 13). La piste s'approche justement d'une zone de coulées plus anciennes où les filaos, déjà grands, ont poussé en bouchant l'horizon (Photo 15). On bénéficie, depuis la piste, de belles vues sur les Grandes Pentes et le Grand Brûlé si le brouillard na pas tout envahi (Photo 17). La piste file vers la droite, quitte les coulées et pénètre dans une végétation touffue comportant beaucoup de fougères (Photo 18). Au petit matin, la rosée a du mal à s'évaporer et mouille rapidement les chaussures. Cette piste, herbeuse et en pleine jungle est assez agréable et facile durant quelques centaines de mètres (Photo 19). On parvient, après un virage serré vers la gauche, à des zones couvertes d'orchidées bambous, qui dans certaines régions sont classées comme plantes invasives (Photo 20). Le spectacle est très agréable en période de floraison. Bien profiter du spectacle avant de décider de poursuivre. La carte IGN montre un trait noir qui se poursuit mais les fougères ont décidé de recouvrir cette trace (Photo 21). On peut encore marcher en se mouillant les jambes (Photo 22) mais il arrive un moment où la balade se transforme en aventure (Photo 23). Même si on devine parfois des traces de chasseurs de tangues, la randonnée peut prendre fin à l'emplacement des orchidées pour un retour par la piste puis la route jusqu'au parking.

Balises

Pas de balises

Profil

Carte

Plan de l'itinéraire

Itinéraire

Se rendre à Saint-Philippe dans le Sud Sauvage ou Sainte-Rose dans le Nord du Grand Brûlé - Gagner le Grand Brûlé et se garer au parking situé en début de piste qui descend au Quai Neuf (Alt 86 m) - Suivre la piste jusqu'à la côte puis retourner jusqu'à la RN2 - Bifurquer à gauche en direction de Saint-Philippe jusqu'au début de la Route Forestière Géothermique - Suivre la piste qui traverse les coulées de lave, les bois et filaos puis les zones de fougères - A la "clairière aux orchidées", décider de poursuivre la portion sportive ou rebrousser chemin jusqu'au véhicule.


Commentaires sur cette randonnée (8)

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Christian L, 25/04/2023 21:57
Randonnée complétée le 20/04/2023 en 6h30

Je tiens à saluer le véritable exploit de Juanitarun qui a réalisé en solitaire (bon, avec ses 2 chiens!) la percée de l' Enfer Vert" que constitue la totalité de la route forestière géothermique 31. La voie fut ouverte quelques jours avant avec moult efforts et coupe-coupe par Martial - je n'ai fait que suivre en creusant un peu plus le sillon de son passage- mais nous étions loin de penser que quelqu'un d'autre se lancerait dans une telle aventure ! A qui le tour du moment que nos passages restent encore sûrement visibles...c'est à dire pour peu de temps ? C'est également la saison des magnifiques orchidées bambous en fleurs que vous découvrirez en particulier au niveau du forage mais si vous voulez en photographier de belles vous pouvez aller un peu plus vers la direction du Tremblet en empruntant la piste forestière n°33 dite du Grand Brûlé malgré tout plus accessible.

Martial, 24/04/2023 18:17
Randonnée complétée le 20/04/2023 en 6h30

@Juanitarun, un grand bravo pour cette sortie ; j'espère que les toutous n'ont pas trop souffert, et que nos traces ont pu être utile.
Quelle aventure; je ne pensais que quelqu'un (e) aller l'oser celle la.

Juanitarun, 24/04/2023 17:57

Une folle et ses chiens ont suivi les traces des Martial et Christian. En partant ce matin, mon objectif était la clairière aux orchidées, peut-être un peu plus. Deux aventuriers sont passés peu de temps avant, alors la végétation couchée suffit à trouver le chemin. La clairière est atteinte en une heure, alors je poursuis. J’ai perdu le fil peu avant la fin du tracé dans l’antichambre de l’enfer vert. J’ai poursuivi… et c’est effectivement devenu infernal. Forcer le passage à travers cette dense végétation en faisant attention à chaque pas, en évitant de se tenir aux gros bois (brûlés, pourris, cassants) est vraiment de la folie. Je suis enfin arrivé à la coulée de 2004. Traversée des grattons pour retrouver des coulées solides, carrément plus agréables pour les pattes des chiens, puis descente sur la RF 31 et la voiture, environ 3h30 en tout.J’ai fait la partie familiale ensuite. Quel contraste ! Le chemin est large et aisé, croisant le sentier des laves vers Ste Rose. Pause déjeuner devant une mer magnifiquement bleue, et nous voilà partis sur le sentier des laves. Après 10 minutes, on rejoint la boucle 1853 et sa coulée de 2002. On a effectué la boucle, sans l’a-r vers le Piton de Crac car les chiens se tapaient pas mal de grattons déjà (rassurez vous, j’ai vérifié leurs pattes à la stèle de la vierge au parasol, niquel.) Quelle sortie pleine de contrastes! Comme dit Christian L : « moin la fait, mi recommencera plus, promis. »

Martial, 21/04/2023 11:06
Randonnée complétée le 20/04/2023 en 6h30

Allez, il fallait bien que je rajoute mon grain de sel, donc, en complément du commentaire très complet de Christian, je vous rassure, pour ceux qui n'aime pas la lecture, nous n'étions que 2.

Une fiche ancienne, un indice de confiance faible, peu de commentaires et aucun ne relatant la faisabilité de l’entièreté de la route géothermique ; armés de nos mentalités de « randonneurs fous qui préfèrent les griffures aux coups de soleil » dixit ; il n’en fallait pas plus pour nous décider à se rendre sur place et tenter cette route géothermique, et uniquement celle-ci.
C’est après un voyage en bus depuis St Pierre que nous descendrons à l’arrêt « vierge au parasol » ; après une courte visite à l’emplacement de la vierge, qui même si elle n’y est plus, représente un endroit tout à fait remarquable, et, il est d’ailleurs dommage que l’endroit ne soit plus entretenu, peu visité et tombe dans l’oubli.
Nous nous dirigerons vers le départ de la fameuse route géothermique, environ 3 kilomètres de l’arrêt de bus.
2 départs possible pour retrouver cette fameuse route, derrière la barrière en bois de la route, en remontant dans la végétation, ou, au poteau indiquant la coulée 2004, en remontant dans les laves sur une centaine de mètres.
Nous choisirons le départ derrière la barrière.
La piste se repère immédiatement, nous sortons vite de la végétation et nous tombons sur une route très large et visible dans les laves.
La progression est très facile jusqu’à la lisière, soit au moment ou la route rentre dans les filaos et la végétation ; cela devient plus difficile à partir de là, mais jusqu’au point indiquant l’emplacement de forage, soit la clairière aux orchidées mentionnées sur la fiche, c’est difficile certes, mais pas insurmontable, et, à mon avis, toujours praticables par de nombreux randonneurs, à condition bien sûr, de ne pas craindre d’être trempé par la végétation, s’il ne pleut pas en même temps, et d’être un minimum motivé. La piste est toujours visible et on voit bien sa continuité à l’intérieur des filaos, donc, impossible de s’y égarer. Nous parviendrons en 2 heures au point de forage depuis l’arrêt de bus.
Comme le mentionne la fiche, décider de faire demi-tour ou pas à cet endroit, mais, si comme nous, vous décidez de continuer pour tenter la sortie dans la coulée 2004, attendez vous à souffrir.
Nous mettrons encore 2 heures pour atteindre la coulée 2004 et sortir de l’enfer des fougères de plusieurs mètres de hauteur qui nous empêchent de progresser sereinement et des nombreux arbres morts ou pas, tombés au milieu de la piste. La progression sur cette partie est devenue « extrêmement difficile ».
Nous réussirons à suivre la piste, nous la perdrons sur quelques dizaines de mètres et la retrouverons assez rapidement, mais notre avancée est lente et le temps parait s’être arrêté. La lisière de filaos que nous apercevons au loin et notre lenteur de progression, fait que cette lisière semble s’éloigner de plus en plus, la fatigue aidant.
Attention, pour ceux qui seraient tentés, nous traversons des coulées, ou crevasses, failles et autres recouvert de végétation rendent le terrain très dangereux ; ou chaque pas doit être étudié.
C’est avec soulagement et bonheur que nous atteindrons, à l’endroit exact indiqué sur la carte la sortie de la route géothermique.
Nous rejoindrons la rf31 (route géothermique), en descendant par les meilleurs passages dans la coulée 2004.
L’heure ayant tourné, notre prochain bus étant maintenant à 13h21, nous déciderons, conformément à la fiche de rejoindre le quai neuf pour une pause bien mérité ; ayant le temps, nous rejoindrons l’arrêt de bus par le sentier des laves ; ce qui nous fera au final une superbe boucle, réalisée en un peu plus de 6h tout compris.
La fiche garde cet intérêt de mémoire concernant cette idée de forage, et cette route construite pour l’occasion.
Nous serons probablement les derniers à la réaliser en entier, à moins que d’autres « un peu fou tentent de suivre nos traces ».
Assurément une belle sortie qui nous à ravi.
Photos Jointes : 1-notre boucle sur la carte IGN et en représentation sur la carte satellite 2-L’emplacement de la vierge au parasol 3-Les 1er mètres de la route dans la végétation 4-Poursuite de la rf31 après la clairière aux orchidées 5-Le paradis retrouvé




Christian L, 21/04/2023 09:01
Randonnée complétée le 20/04/2023 en 6h30

Bon, « nou la fé » mais nou le referons plus ! Promis…

La route géothermique est enfin vaincue mais à quel prix. La fiche randopitons devient complètement obsolète. La rando passe en « très difficile » pour ne pas dire plus. C’est maintenant une boucle qui nous prendra plusieurs heures et l’intérêt sportif passe à plusieurs cœurs. La fiche randopitons s’arrêtait à la clairière aux orchidées bambous que nous préférons surnommer là clairière au forage. C’est là que dans les années 80 de profonds forages de près de 3000 m de profondeur ont eu lieu. Un autre forage a été effectué quelques mètres en aval de la Vierge Parasol à 285 m de profondeur. Les cartes satellites montrent également l’emplacement de gros appareils laissés sur place pour ces études de géothermie. Tous ces projets furent ensuite abandonnés et hélas nous n’avons plus rien trouvé… si ce n’est la belle clairière à l’emplacement du forage encore marqué sur la carte ign. Pour y arriver, partir de la RN 2 quelques mètres plus à l ‘est de la fameuse rambarde qui est le « point officiel » du départ ce qui évite déjà une première difficulté dans la végétation. On découvre très vite la belle route forestière 31 au milieu de la coulée de lave 2004 que l’on suit évidemment sans problème même si ce n’est pas tout à fait la trace randopitons. Malgré nos recherches pas de traces des instruments de mesures vus sur la carte satellite. Ensuite la piste se rétrécit s’enfonce dans une végétation haute de fougères mais surtout barrée par des arbres en travers où il faut enjamber ou ramper sans cesse. On devine une trace au sol due sûrement à nos 2 compères Fanch et Ousarsiph2 qui depuis des années ont dû être les seuls à s’aventurer sur quelques centaines de mètres mais, les connaissant bien nous savons qu’ils n’ont pas insisté car ce n’est pas ça qui va leur faire peur ! Il serait intéressant de savoir en quelle année les fiches randopitons ont vu le jour pour comparer l’état des sentiers et de la végétation mais cette donnée ne semble pas disponible sur le site ? Quoi qu’il en soit c’est finalement presque une promenade de santé jusqu’à là clairière…tout est relatif (pour Sophie M et nos 2 amis…les seuls qui ont mis un commentaire depuis une dizaines d’années). JPG titrait déjà «  bientôt l’aventure «  et parlait déjà que cette piste serait bientôt qu’un souvenir. Un visionnaire! Nous l’avons fait revivre l’espace d’un matin…Sans coupe-coupe et la ténacité, la force jusqu’à la limite de l’épuisement de Martial, jamais cela n’aurait été possible. On doit marcher toujours en ligne droite et on doit sentir sous nos pieds que c’est plat, preuve qu’on est toujours sur la piste. Voilà nos deux bons conseils…Mais on avance avec devant nous une muraille de fougères, de lianes, de galaberts parfois, qu’il faut déblayer en gardant espoir de finir vainqueur de cette rude bataille.La muraille atteint souvent 3 mètres de haut et en découragerait plus d’un. Dans l’autre sens nous aurions d’ailleurs abandonné , On est d’ailleurs prêt à rebrousser chemin mais est-ce raisonnable car serons-nous sûr de retrouver nos traces. On fait une pause réparatrice pour retrouver un peu d’énergie et pour repartir dans cet Enfer Vert car pour une fois le mot convient parfaitement, Les yeux sans cesse rivés sur le gps nous parvenons bien difficilement à la fin de la route…bien matérialisée sur les cartes même si là le mot route ne convient plus du tout !
Nous voici donc devant la coulée de lave de 2004, propre c’est à dire sans grosse végétation mais recouverte de milliards de grattons noirs très coupants. C’est pourtant presque un bonheur de la descendre jusqu’à la route nationale d’autant plus que nous trouvons de grandes zones moins friables et moins dangereuses. La boucle est bouclée en 4 heures donc déjà bien sûr rien à voir avec les temps de la vieille fiche. Le reste c’est à dire le détour jusqu’au Quai Neuf est une aimable plaisanterie et pour faire une boucle parfaite qui nous ramène à l’arrêt de bus Vierge Parasol nous empruntons le sentier des Laves bien réhabilité jusque vers le Quai de la Vierge.
Prévoir 6 heures 30 pour l’ensemble.

Bus Car Jaune S1 St Pierre à 5h20 jusqu’à la Vierge Parasol. Retour bus à 13h16….mais ne pas traîner pour la dernière heure de marche.

« Ils ne savaient pas que c’était impossible alors ils l’ont fait » Martial et Christian, pardon Mark Twain !

Sophie M, 24/12/2022 13:21
Randonnée complétée le 24/12/2022

Comme il pleuvait, je n'ai même pas essayé de chercher la route géothermique au vu des commentaires précédents ; par contre pour la partie qui descend vers la côte c'est en très bon état et large. Ça se resserre un peu sur les derniers mètres pour rejoindre le platier. Pas mal de déchets dans les failles pour un endroit pourtant si loin de tout !

Ousarsiph2, 18/04/2021 18:00
Randonnée complétée le 18/04/2021 en 2h00

Je confirme que le Quai Neuf, visité ce jour, est charmant avec ses filaos et ses rochers battus par les vagues, et donne envie d'y retourner pour s'y attarder par beau soleil. En ce qui concerne la route forestière géothermique, j'ai renoncé vers la ligne de niveau des 150 m. La progression devenait trop pénible dans une végétation de plus en plus inextricable . Je m'étais fixé le point de forage comme objectif... Ce sera pour plus tard ou peut être jamais. On y croise cependant de jolis caméléons (photo)

Fanch, 29/05/2016 15:28
Randonnée complétée le 28/05/2016 en 2h00

Descente au quai neuf agréable avec un bel espace sous les filaos pour pique niquer au son des vagues. La RF31 s'envahit peu à peu d'autant qu'une rambarde en bloque désormais l'accès depuis la RN2.

Randonnée ajoutée le : 01/06/2012